VON DER LEYEN PRÊTE À PILLER LES 300 MILLIARDS GELÉS DE MOSCOU POUR ZELENSKY | GPTV LA MATINALE

Le 04 décembre 2025 à 7h, Oskar Freysinger, Vincent Pavan, Pierre Conesa et François Martin étaient les invités de Nicolas Stoquer, en direct dans La Matinale de Géopolitique Profonde.

Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ancien vice-président de l’UDC et ex-élu au parlement. Il a été Secrétaire d’État. Aujourd’hui, il se consacre à l’écriture, la traduction et partage ses analyses comme chroniqueur.

Vincent Pavan est un mathématicien, maître de conférences à l’université d’Aix-Marseille, spécialisé en topologie. Il est connu pour ses critiques des politiques sanitaires lors de la crise du Covid-19.

Pierre Conesa est un ancien haut fonctionnaire du ministère de la Défense, essayiste reconnu en relations internationales. Agrégé d’histoire, il a contribué à la création de la Délégation aux Affaires stratégiques.

François Martin est géopolitologue, journaliste et essayiste, diplômé de l’ESSEC, de l’EMBA HEC, auditeur de l’IHEDN et de l’INHESJ. Il a 40 ans d’expérience dans le commerce alimentaire international sur plus de 100 pays.

L’Europe sous tutelle financière

Ursula von der Leyen a officialisé le financement de l’effort ukrainien par la confiscation des avoirs russes. Présentée comme innovante, cette mesure est une violation du droit de propriété et un acte de guerre économique. L’UE impose une dette sur la base d’une promesse fictive : que Moscou paiera des réparations. C’est un ultimatum cynique aux peuples européens. L’Europe devient le bras financier de l’OTAN, au service d’une guerre qui n’est pas la nôtre. Derrière les discours moralisateurs, c’est le contribuable qui paie.

La dérive belliciste de Bruxelles

Avec Kaja Kallas et Ursula von der Leyen, la rhétorique guerrière domine. L’objectif n’est plus la paix mais la survie d’un projet moribond. Bruxelles choisit la confrontation, encouragée par Macron. L’obsession antirusse devient identitaire. Washington commande, Bruxelles obéit. Les sanctions punissent surtout les économies européennes. L’idéologie supplante la raison d’État, les peuples sont évincés.

Une Europe de guerre et de faillite

Sous couvert de solidarité, l’UE confisque des avoirs étrangers et impose des budgets militaires sans mandat. Macron pousse à l’escalade pendant que la France s’endette. L’UE devient un empire technocratique, sans peuple ni souveraineté. Le consentement n’est plus requis. Ce que von der Leyen appelle solidarité est une colonisation budgétaire. Reste une issue : le réveil des peuples avant qu’il ne soit trop tard.