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ADRIEN BASTARD, PROCHE DE CYRIL HANOUNA, AU CŒUR D’UN RÉSEAU PÉDO ? | GPTV
Un système judiciaire qui protège les puissants
La libération d’Adrien B., poursuivi pour traite d’êtres humains et exploitation sexuelle de mineurs, illustre une fracture entre la gravité des faits et la clémence de l’institution judiciaire. Quatre mois d’incarcération seulement pour des crimes impliquant des enfants, du proxénétisme aggravé et la transmission volontaire d’une maladie grave révèlent une protection implicite dont bénéficient les réseaux bien connectés. Ce contraste entre la sévérité affichée de la loi et sa mise en œuvre réelle nourrit la défiance : certains criminels échappent aux lourdes sanctions grâce à leurs appuis politiques, économiques ou sociaux.
Le contrôle judiciaire, présenté comme garant de la présomption d’innocence, devient dans ces cas un outil de désamorçage médiatique. Il permet à des suspects ancrés dans les sphères de pouvoir de retrouver une liberté de mouvement, malgré des charges accablantes. Cette mécanique crée une dissonance : des citoyens lambda sont détenus des mois pour des délits mineurs, pendant que d’autres, suspectés de crimes odieux, bénéficient d’un traitement plus favorable. Une hiérarchie judiciaire implicite se dessine, délégitimant l’idée d’égalité devant la justice.
L’infiltration des réseaux mondains et médiatiques
L’exploitation d’enfants ne se limite pas aux réseaux criminels traditionnels ; elle s’immisce dans des structures mondaines ou associatives en apparence anodines. Adrien B., en tant que délégué régional de concours de représentation, utilisait ces événements pour tisser des réseaux, approcher des familles, et construire une façade respectable. La proximité affichée avec des figures médiatiques comme Cyril Hanouna ajoute un vernis social flatteur, écartant les soupçons.
Ce mécanisme illustre comment les sphères mondaines servent de paravent à des activités de prédation. Les prédateurs utilisent leurs connexions pour renforcer leur légitimité, se protéger des regards indiscrets et installer un système enraciné. Ces circuits deviennent difficilement attaquables sans une réforme structurelle profonde. En s’appuyant sur l’image publique et l’influence, ils installent un environnement où la prédation prospère sous couverture de respectabilité.
Une justice et un divertissement minés par la complaisance
La remise en liberté rapide d’Adrien B. dévoile un affaiblissement préoccupant de la réponse judiciaire face à des crimes graves. Loin d’un message de fermeté, cette décision reflète un système qui recule devant l’influence de certains réseaux. Cette passivité trahit un consentement tacite : laisser prospérer ces structures revient à en garantir la pérennité. Les victimes, elles, sont doublement trahies — d’abord par les prédateurs, puis par une justice défaillante.
Le monde du divertissement apparaît comme un espace où protections mutuelles et complaisance ouvrent la voie aux dérives. Le danger ne tient pas à une personne, mais à la porosité entre notoriété, argent et exploitation. Quand la réputation prévaut sur la protection des enfants, c’est toute la société qui vacille. Cette tolérance ne reflète pas un manque de moyens, mais un choix politique : préserver certains cercles d’influence au détriment des victimes.
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