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LA JUSTICE FRANÇAISE VEUT CENSURER X : LA DICTATURE NUMÉRIQUE EST LÀ ! | GPTV
Le 22 juillet 2025, Mike Borowski révélait comment la justice française tente de faire tomber X en livrant ses algorithmes à un militant anti-réseaux, transformant la République en machine à censurer.
La République veut forcer X à livrer ses algorithmes
La justice française a franchi un seuil inédit en matière de surveillance numérique : elle exige que X (ex-Twitter) livre ses algorithmes à David Chavalarias, chercheur militant proche du CNRS, qui mène une croisade contre la plateforme sous le slogan « Escape X ». En choisissant un acteur engagé pour disséquer les algorithmes, la justice abandonne toute prétention à l’impartialité.
Mais cette demande ne s’arrête pas là. Le parquet a ouvert une enquête pour manipulation de l’opinion publique en bande organisée. Une accusation lourde, sans précédent dans le monde démocratique, qui permet à la justice de mener des écoutes, des perquisitions, et d'exiger les codes sources. X refuse, dénonçant une dérive autoritaire. La France devient ainsi le premier pays occidental à instrumentaliser la justice pour accéder à l’architecture interne d’un réseau social mondial, hors de toute coopération multilatérale.
X ciblé comme ennemi d’État
Cette pression inédite sur X révèle une situation préoccupante pour la liberté d’expression en France. Ni l’Allemagne ni les États-Unis n’ont tenté de forcer l’accès aux flux d’activité en temps réel de la plateforme. En France, l’objectif n’est plus de réguler, mais de contrôler l’idéologie. Cette attaque judiciaire marque une guerre contre la parole libre, le débat, et ceux qui refusent la pensée unique élyséenne.
Le pouvoir redoute la viralité incontrôlée. Il ne supporte pas qu’un mème, un tweet ou une vidéo échappe à sa narration officielle. La désignation d’un chercheur partisan pour scruter les rouages de X fait de la justice une police de la pensée. Le message est limpide : toute plateforme refusant la soumission sera poursuivie.
La fabrique d’une information sous tutelle
Si cette dynamique aboutit, X pourrait quitter la France, suivant le pas d'autres plateformes parties faute de garanties juridiques. Cette absence ouvrirait une brèche : le contrôle total du discours public. Qu’adviendra-t-il des voix dissidentes ? L’AFP, seule agence officielle, pourrait s’imposer comme source dominante, diffusée par des médias subventionnés.
La France se rêve en pionnière du nouvel ordre informationnel. Ce qui échappe au filtre doit être censuré, effacé. Les géants du numérique sont sommés de se soumettre ou de disparaître. Les citoyens, eux, devront se contenter d’une réalité contrôlée. Ce processus, justifié par la lutte contre la désinformation, prend désormais l’apparence d’une purge idéologique. La République n’est plus un rempart, mais un vecteur de tyrannie numérique.
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