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IRAN, ISRAËL, EPSTEIN, TRUMP : LES OPÉRATIONS SECRÈTES DE L’AIPAC ! | GÉRARD CHEVRIER | GPTV
Le 21 juillet 2025, Gérard Chevrier était l’invité de La Grande Émission, animée par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.
Gérard Chevrier est un spécialiste du nucléaire reconnu pour son analyse géopolitique des conflits contemporains. Il s’est illustré par ses travaux sur les risques nucléaires et la protection contre les retombées radioactives.
AIPAC et Israël, moteurs d’une stratégie d’escalade
L’AIPAC apparaissait comme un levier d’une stratégie israélienne visant à remodeler le Moyen-Orient par la force. Ce lobby influent à Washington orienterait la politique étrangère américaine, en particulier face à l’Iran. Par cette emprise, il inciterait les États-Unis à adopter une posture belliciste, parfois contraire à leurs intérêts réels.
Israël chercherait à préserver son monopole stratégique, notamment nucléaire. Bien que non déclaré, cet arsenal est une évidence pour les observateurs. Dès lors, l’hypothèse d’une guerre préventive contre l’Iran pour neutraliser ses ambitions nucléaires semble crédible.
L’AIPAC jouerait un rôle central en influençant le Congrès et l’administration, rendant l’intervention militaire perçue comme légitime, voire inévitable. Ce processus s’apparenterait à une manœuvre structurée, plus qu’à une simple orientation politique.
Opérations secrètes et manipulation des perceptions
Gérard Chevrier évoquait des opérations secrètes non revendiquées mais identifiables par leur impact : assassinats ciblés de scientifiques iraniens, cyberattaques contre Natanz, frappes discrètes en Syrie. Ces actions relèveraient d’une doctrine de guerre de l’ombre.
Leur objectif dépasserait le militaire : elles viseraient à déstabiliser psychologiquement les États visés. Si Israël en était l’auteur, il s’agirait d’une stratégie d’usure silencieuse, visant à affaiblir durablement ses adversaires.
Ces actions pourraient servir à provoquer une escalade contrôlée pour justifier une offensive majeure. L’idée que les États-Unis aient frappé volontairement des sites vides pour éviter une guerre directe, tout en maintenant une posture de puissance, s’inscrirait dans cette logique.
Cette stratégie du simulacre manipulerait l’opinion publique en simulant une riposte tout en préparant un conflit réel. Israël y jouerait un rôle moteur, bien que les chaînes de commandement restent floues.
Trump, Epstein et le piège du silence
Le silence de Donald Trump sur l’affaire Epstein alimentait les spéculations. Peut-être a-t-il été contraint au silence pour ne pas s’opposer aux réseaux liés au Mossad.
Si Epstein agissait comme agent de renseignement, ses liens avec l’élite mondiale auraient pu créer des moyens de chantage. Trump, critique par moments des actions militaires israéliennes, aurait ainsi été neutralisé politiquement.
Son aptitude à empêcher une guerre majeure apparaissait alors incertaine. Les réseaux néoconservateurs, puissants à Washington, soutenus activement par l’AIPAC, semblaient déterminés à poursuivre leur stratégie d’endiguement de l’Iran.
Un affrontement régional évoluant vers un conflit nucléaire devenait envisageable si une série de provocations déguisées en légitimes réponses se succédaient. Coincé entre ses intentions passées et les forces qu’il ne contrôle plus, Trump pourrait se retrouver sans issue.
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