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TRAHISONS, ASSASSINATS, DICTATURE : ALEXANDRE JUVING-BRUNET BALANCE TOUT ! | GPTV

Alexandre Juving-Brunet, Nicolas Stoquer, Lara Stam

Le 20 juillet 2025, Alexandre Juving-Brunet était l’invité du Libre Journal de Géopolitique Profonde, animé par Nicolas Stoquer et Lara Stam.

Une dissidence en état de siège

Alexandre Juving-Brunet est une figure publique engagée dans divers mouvements sociaux et politiques. Ancien capitaine de gendarmerie, il s’est illustré par son implication dans des initiatives citoyennes et ses prises de position sur la souveraineté nationale.

Il ne parle pas de Résistance à la légère. Pour lui, ce mot n’appartient qu’aux hommes prêts à mourir face au pouvoir. Il se définit comme un dissident, lucide, exposé, encore vivant. Il dépeint une Europe – surtout la France – verrouillée par une oligarchie imposant une idéologie totalitaire, criminalisant toute dissidence et écrasant les derniers foyers de contestation.

Le système ne tolère plus rien hors de son récit. Toute divergence est éliminée par la censure, la diffamation ou la mort sociale. Mais Juving-Brunet accuse aussi les Français de passivité. À ses yeux, trop de citoyens « crèvent » de lâcheté, incapables de voir le désastre. Seule une minorité lucide pourra provoquer un sursaut.

Macron, symptôme d’un État profond pathologique

Emmanuel Macron incarne, selon lui, la marionnette parfaite d’un État profond. Instable, creux, névrosé, il servirait sans scrupule les intérêts transnationaux. Ses provocations, mensonges, son mépris du peuple ne seraient pas des erreurs, mais les éléments d’une stratégie de destruction méthodique.

Sa haine de la Russie de Poutine illustrerait cette folie : il suivrait aveuglément Washington et l’OTAN, entraînant la France dans des conflits qui ne sont pas les siens. Pour Juving-Brunet, Macron n’agit pas par dérive, mais par dessein : briser les nations, traditions, souverainetés. Il ne gouverne pas, il exécute un plan.

Une série noire autour de l’affaire Alstom

Plusieurs morts suspectes entourent le dossier Alstom, dans lequel Macron joua un rôle clé en 2016-2017. Quatre hommes connaissaient les dessous de cette vente stratégique à General Electric. Trois sont morts, le dernier vit caché.

Éric Denécé, fondateur du CF2R, a été retrouvé mort, fusil en main. Le suicide est contesté. Olivier Marleix, député LR, a été retrouvé pendu chez lui, un manuscrit explosif dans son bureau. Jean-Michel Quatrepoints, journaliste d’investigation, meurt début 2024. Frédéric Pierucci, dernier témoin clé, s’est volatilisé. Pour Juving-Brunet, ces morts ne sont pas des coïncidences : elles frappent ceux qui savaient et menaçaient un président dont la légitimité chancelle.

Le pouvoir resserre son étau dans la peur

D’autres figures de la dissidence disparaissent. Officiers, députés, journalistes : ceux qui dérangent meurent, se taisent ou s’exilent. Le régime, selon Juving-Brunet, perd le contrôle de l’information et de la rue. Il répond par la force, dans une logique de purge.

La dissidence devient une ligne de front. Le pouvoir ne tolère plus aucune opposition structurée. Il sent que le peuple gronde, que l’illusion démocratique s’effondre. Il frappe symboliquement, médiatiquement, voire physiquement. Car il n’a plus rien à perdre, et c’est ce qui le rend dangereux.

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