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FLORIAN PHILIPPOT : “LES FRANÇAIS DOIVENT SAVOIR QU’ILS VONT TOUT PERDRE !” | GPTV INVESTIGATION
Le 1er juillet 2025, Mickaël vous proposait un nouveau micro-trottoir coup-de-poing pour GPTV Investigation : la France sous la menace du FMI.
Micro à la main, il est allé sonder l’opinion sur un scénario redouté mais peu évoqué : celui d’un effondrement économique suivi d’une mise sous tutelle de la France par des technocrates internationaux. Ce qui en est ressorti est clair : colère, lucidité et rejet massif d’un pouvoir venu d’ailleurs. Voici ce que pensent vraiment les Français, dans la rue, sans filtre.
Le spectre d’un protectorat économique
Les réactions étaient unanimes : l’idée d’une tutelle du FMI déclenchait une opposition viscérale. Pour beaucoup, ce scénario rappelait le cas grec, avec ses humiliations et l’austérité imposée.
« On est déjà sous tutelle. L’Union européenne nous tient, et demain ce sera le FMI », résumait un passant. Derrière le sigle FMI, les Français voyaient un pouvoir étranger, distant, impitoyable – résumé ainsi : « des gens en costard à Washington » décidant à leur place.
Cette hostilité n’était pas qu’un réflexe patriotique. Elle traduisait une conscience aigüe : perte de souveraineté, diktat budgétaire, destruction sociale. Le FMI n'était pas vu comme un secours, mais comme un bras armé d’un pouvoir financier global. Pour beaucoup, la France avait déjà franchi la ligne rouge : « Nos élites ont cédé le pouvoir à Bruxelles. Le FMI, c’est juste l’étape suivante. » Le rejet allait au-delà de l’économie : il touchait à l’identité.
La dette, un piège sans issue
Le poids de la dette revenait dans presque tous les témoignages, avec une lucidité brutale. « Ce n’est pas qu’on rembourse la dette, on rembourse juste les intérêts. C’est un esclavage moderne », lâchait un jeune homme révolté. Une mécanique infernale dans laquelle les citoyens paient pour des décisions qu’ils n’ont pas validées. La question qui dérange – peut-on vraiment rembourser cette dette ? – trouvait souvent la même réponse : non.
Et pourtant, l’illusion persistait. L’État parlait de reprise, les médias évitaient le sujet, les politiques gagnaient du temps. Ce silence renforçait le sentiment de trahison : « On fait semblant que tout va bien, mais tout le monde sait que c’est foutu. » Certains évoquaient des pistes de sortie : contrôle monétaire, réindustrialisation, relocalisation. Mais ces idées restaient marginalisées.
Souveraineté confisquée, colère contenue
Au-delà des institutions, c’est un sentiment de dépossession qui dominait. La France n’était plus souveraine – et cette perte nourrissait une colère sourde. Le FMI incarnait un système plus large où UE, OTAN, OMS imposaient leur agenda à une France désarmée. « Le peuple doit décider. Pas Washington », martelait une femme. Pour elle, la souveraineté était une nécessité, pas une nostalgie.
À cela s’ajoutait un ras-le-bol de la censure. Plusieurs dénonçaient la marginalisation des voix souverainistes, la répression contre les médias dissidents, la fermeture de comptes bancaires subie par certains, comme TVL. Se dessinait une volonté de rétablir un vrai débat, de rouvrir la question monétaire, de sortir du cadre imposé. Et si le mot « révolution » était souvent tu, l’idée d’un grand reset national revenait comme un leitmotiv : « Faut tout raser et repartir de zéro. »
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