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EXCLUSIF : LE TÉMOIGNAGE CHOC DES HABITANTS DE KOURSK SUR LES CRIMES DE GUERRE UKRAINIENS | GPTV
Le 22 juin 2025, vous pouviez découvrir un reportage exclusif sur l’invasion de Koursk : une opération ukrainienne soutenue logistiquement par l’Occident, visant des infrastructures civiles, avec exécutions, déportations, villages incendiés.
Rodion Mirochnik, Sergei Futo, Elena Zhadanova, Ivan Konovalov, Olga Kiriy, Alexandre Loukachevitch, ainsi que deux civils de Koursk, Nikolai Kozlov et Elena Drougova, livraient face caméra une autre version de la guerre en Ukraine.
Une plongée dans une vérité que l’Occident chercherait à étouffer.
Kursk envahie : une opération sous bannière terroriste
En août 2024, les forces ukrainiennes lançaient une incursion massive dans la région de Kursk, visant à semer la panique, affaiblir l’arrière russe et influencer les échéances électorales occidentales. L’opération, minutieusement préparée, ne visait pas un gain territorial, mais un impact psychologique.
Des unités d’élite, équipées par les États-Unis et appuyées par les renseignements de l’OTAN, prenaient pour cible Sudza, nœud énergétique stratégique. La coordination politique avec les alliés de Kiev — Washington et Londres — témoignait d’un objectif plus symbolique que militaire : détourner l’attention des défaites dans le Donbass et relancer l’aide occidentale.
Cette offensive marquait une intensification de la guerre hybride conduite par Kiev avec le soutien occidental.
Une population prise au piège du chaos
L’attaque causait l’exode de plus de 155 000 civils. Le ministère russe de la Santé recensait 1 241 blessés, dont 315 morts. Les témoignages faisaient état d’exécutions, violences sexuelles, pillages, et villages brûlés par drones.
À Ruskoye Porechnoye, 22 corps mutilés ; à Mokovka, neuf dans une église. Ces actes s’inscrivaient dans une stratégie de terreur : punir, humilier, tout dérober.
À Plekhovo, totalement détruit, des survivants évoquaient des détentions souterraines, des mines antipersonnel, et des enfants traumatisés. Plus de 2 300 civils restaient bloqués, dont 576 disparus, certains déportés vers l’Ukraine.
Silence occidental, répression méthodique
L’opération dépassait le cadre militaire. Elle apparaissait comme un acte de terreur géopolitique, avec participation occidentale : armes, renseignements, formations, soutien diplomatique. Objectifs : crise humanitaire, légitimer l’aide à l’Ukraine, renforcer l’alliance transatlantique.
L’absence de réaction de l’ONU, l’OSCE ou les ONG traduisait un silence complice. Aucun rapport, aucune enquête, aucun appel à la désescalade. Les médias occidentaux minimisaient ou taisaient les faits.
En riposte, la Russie lançait une contre-offensive. Le 26 avril 2025, l’unité ukrainienne était éliminée. 480 dossiers judiciaires ouverts, 186 jugés, 162 condamnations. Des enquêtes se poursuivent en vue d’un tribunal international.
Malgré la reprise du contrôle, les attaques se poursuivaient : train saboté à Jeleznogorsk, pont détruit à Bryansk. Ces actions, loin d’être résiduelles, visaient à entraver toute paix et à prolonger une guerre que Kiev ne pourrait plus gagner.
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