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ALAIN SORAL DE RETOUR DU DONBASS : L'INTERVIEW INTÉGRALE NON CENSURÉE ! | GPTV

Alain Soral, Franck Pengam

Le 16 juin 2025, Alain Soral et Franck Pengam, de retour du Donbass, livraient un témoignage explosif sur la réalité du terrain et la guerre d’influence menée par les médias occidentaux – une vérité brute que l’Occident préfère taire.

Le Donbass vu de l’intérieur

Revenu du Donbass, Alain Soral livrait une vision en rupture avec la propagande dominante. Il décrivait des territoires calmes, des populations majoritairement pro-russes, et une infrastructure en développement, loin de l’image de ruines souvent relayée. Pour lui, ce décalage entre terrain et récit médiatique occidental illustre une manipulation organisée de l’opinion publique. Le Donbass apparaissait ainsi comme un bastion résistant au modèle occidental, avec une population affirmant son appartenance à la Russie.

Ce témoignage remettait en cause la grille d’analyse imposée par les médias. Soral décrivait une Russie active, sûre d’elle, modernisée, tandis que les grandes métropoles occidentales sombreraient dans le désordre social et le déclin. À Moscou, aucune trace de guerre ; dans le Donbass, une société résiliente face au conflit. Ces réalités seraient délibérément ignorées en Occident, afin de maintenir l’image d’un peuple russe opprimé, justifiant ainsi les interventions étrangères.

La guerre de l’information contre la Russie

Selon Soral, la guerre en Ukraine se jouait d’abord sur le plan médiatique. L’Occident mènerait une guerre d’influence, utilisant ses médias pour imposer une vision univoque : la Russie comme agresseur, l’Ukraine comme victime. Toute voix dissidente était aussitôt marginalisée, taxée de complotisme. Ce verrouillage du discours illustrerait un virage autoritaire des démocraties dans leur gestion de l’information.

Il évoquait aussi l’occultation des exactions ukrainiennes dans le Donbass depuis 2014. Des crimes de guerre, pourtant signalés par ONG locales et journalistes indépendants, seraient passés sous silence. Cette censure entretiendrait le mythe d’un Occident moralement supérieur, tout en soutenant un régime accusé de dérives nationalistes. Le traitement médiatique du conflit devenait ainsi un levier géopolitique au service des ambitions de l’OTAN.

Poutine, dernier rempart contre le chaos

Alain Soral voyait en Vladimir Poutine un « katechon » : celui qui retarde l’avènement du chaos. Il incarnait, selon lui, une stabilité rejetée par l’Occident, qui lui préférait l’idéologie et l’ingénierie sociale. Figure d’autorité rejetée en Europe, Poutine s’imposerait comme un point d’équilibre dans de nombreuses régions du monde, face à la dérive technocratique des démocraties.

Enfin, Soral dénonçait une décadence morale en Occident, nourrie par la promotion de l’idéologie LGBT, la gestion du COVID-19 et l’étouffement de toute pensée dissidente. Le conflit ukrainien devenait, dans cette lecture, le symptôme d’un affrontement entre deux visions du monde : un Occident en crise, et un bloc eurasiatique défendant une autre idée de civilisation.

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