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ALERTE PANDÉMIE DE GRIPPE : QUELQUE CHOSE SE PRÉPARE… | GÉOPOLITIQUE PROFONDE
Le 18 janvier 2025, Mike Borowski évoquait la nouvelle menace sanitaire agitée par le gouvernement français, sur Géopolitique Profonde.
Yannick Neuder, ministre de la Santé, annonce une pandémie de grippe dramatique. Derrière ce discours alarmiste, un objectif se dessine : réinstaurer des mesures coercitives, à commencer par la vaccination obligatoire des soignants, suspendue mais jamais réellement abandonnée depuis le Covid-19. Ce scénario révèle une volonté claire de reprendre le contrôle sous couvert d’une crise sanitaire.
Une pandémie de grippe gonflée pour justifier des restrictions
La grippe, maladie saisonnière bien connue, est subitement présentée comme une crise inédite. Pourtant, les données manquent de transparence : aucune statistique sur la mortalité ou des comparaisons avec les années précédentes ne justifient ce niveau de panique. L’objectif : habituer les Français à accepter de nouvelles mesures autoritaires, comme lors de la crise du Covid-19.
Une loi suspendue mais prête à être réactivée
La loi du 5 août 2021, imposant des obligations vaccinales aux soignants, demeure en vigueur. Sa suspension permet au gouvernement de la réactiver à tout moment, ouvrant la voie à des restrictions drastiques : suspensions professionnelles, pass sanitaire, voire confinements. Ce cadre juridique reflète une stratégie visant à utiliser la santé comme levier de contrôle social.
Un spectre politique masqué en crise sanitaire
Au-delà de la grippe, cette gestion reflète une tentative de reprise de contrôle politique. Avec une colère sociale grandissante liée aux réformes et à la crise économique, l’urgence sanitaire devient un moyen de désamorcer la contestation. En ciblant les soignants, le gouvernement teste la résistance de la population et sa capacité à accepter de nouvelles restrictions.
Résister à la manipulation par la peur
Le parallèle avec le Covid-19 est évident : exagération des faits, division sociale, et décisions arbitraires. La grippe ne justifie pas un retour à des restrictions liberticides. Les Français doivent rester vigilants face à un État utilisant la peur pour justifier un contrôle accru.